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La polarisabilité électronique en séries isoélectroniques
Volker Koch  1  , Dirk Andrae  2@  
1 : Fakultät für Chemie, Universität Bielefeld
Postfach 100131, D-33501 Bielefeld -  Allemagne
2 : Institut für Chemie und Biochemie, Freie Universität Berlin  -  Site web
Takustraße 3, D-14195 Berlin -  Allemagne

La polarisabilité électronique αd(Z,N) d'un atome ou d'un ion atomique --- avec nombre de charge nucléaire Z et N électrons --- est une quantité d'importance en plusieurs domaines de recherche [1]. En expérience, les ions atomiques de n'importe quel degré d'ionisation se laissent produire facilement pour utilisation soit en science fondamentale, soit en science appliquée ou en technologie avancée. Des données précises de la polarisabilié électronique, au contraire, ne sont connu que pour valeurs faibles du nombre de charge totale Q = Z - N (anion, atome neutre, mono- et di-cation). Récemment, l'étude de la polarisabilité électronique en plusieurs séries isoélectroniques (jusqu'à Q = 90) [2] a permis d'exprimer cette quantité par fonctions rationnelles de Q. Les formules obtenus correspondent au résultat dit « classique » αd(Z,1) = (9/2)/Z4 = (9/2)/(Q+1)4, valide pour les membres de la série hydrogenoide en leurs états fondamentales 2S. En plus, les données précises maintenant disponible (à six chiffres) se laissent utiliser, par exemple, comme données de référence en études d'effets relativistes.

[1] (a) G. Maroulis (ed.), Atoms, Molecules and Clusters in Electric Fields, Imperial College Press, London, 2006; (b) J. Mitroy, M. S. Safronova, C. W. Clark, J. Phys. B 43 (2010) 202001.

[2] (a) V. Koch, D. Andrae, Int. J. Quantum Chem. 111 (2011) 891; (b) V. Koch, D. Andrae, Eur. Phys. J. D 67 (2013) 139.

 


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