[1]-[2]] ainsi qu'en utilisant la théorie Moller Plesset (MP2) [[3]]. Les effets de la dispersion sont inclus via la dispersion de Grimme (D3). Ces calculs ont été effectués avec le code GAUSSIAN 09. [[4] ] Les atomes sont décrits par les bases atomiques 6-311++G(d,p). [ [5]] D'un point de vue méthodologique, nous montrons que M502X est bien adaptée pour la description de ce type de composés organométalliques. Nos résultats montrent que la structure 3D de ces complexes est gouvernées par des interactions faibles (liaisons hydrogène (type-s), p-stacking, interactions dispersives, etc.). Toutes ces interactions sont en compétition. Par conséquent, ces matériaux hybrides organiques–inorganiques présentent une grande flexibilité structurale intrinsèque.
[1] J. P. Perdew, K. Burke and M. Ernzerhof, Phys. Rev. Lett., 1996, 77, 3865–3868.
[2] Y. Zhao, N. E. Schultz and D. G. Truhlar, J. Chem. Theory Comput., 2006, 2, 364–382.
[3] C. Moller and M. S. Plesset, Phys. Rev., 1934, 46, 618–622.
[4] M. J. Frisch, et al., Gaussian 09 (Revision A.02), Gaussian,Inc., Wallingford, CT, 2009.
[5] A. D. McLean and G. S. Chandler, “Contracted Gaussian-basis sets for molecular calculations. 1. 2nd row atoms, Z=11-18,” J. Chem. Phys., 72(1980) 5639-48.
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